Articles

Affichage des articles du décembre 6, 2009

The end

Voici la fin de nos aventures. Après avoir attendu l’heure de l’embarquement au café de l’aéroport de Santiago nous nous sommes dirigées vers les filtres où nos flûtes sont passées sans problème. Rester à voir si nous aurions une chance d’être surclassées. Sandra avait demandé si cela été possible au comptoir du check-in mais elle ne pouvait rien faire. C’était déjà beau de pouvoir monter avec certitude dans l’avion. Un collègue est venu, la dame lui a posé la question également et il a répondu que cela n’était pas possible au niveau de l’enregistrement car rien ne pouvait le justifier. Du coup il nous a proposé de nous accompagner jusqu’à l’avion, de nous faire passer en dernier et de nous présenter à l’équipage pour éventuellement voir si le surclassement était possible. Nous nous sommes donc tranquillement installées à la porte d’embarquement, attendant que l’on vienne nous chercher. Au bout d’un moment, un homme, très sympathique est venu discuter (prise de contact j’imagine pour v

Vol retour

Ce matin nous sommes parties à la recherche de mon agenda mais ce fut un échec. Ensuite nous avons désespérément chercher le musée d'archéo : second échec. Du coup nous sommes rentrées à l'hôtel finir de nous préparer. Eh oui, ça y est ! C'est la fin. Nous savons que nous pouvons prendre l'avion aujourd'hui et c'est déjà ça ! Maintenant nous attendons de savoir si surclassement il y aura ! Ce fut un voyage superbe ! Le retour risque d'être difficile en sachant ce qui nous attend : boulot, hiver, routine, ... Mais bon il faut bien un retour pour repartir, non ? Nous attendons devant un petit thé avant de passer à l'embarquement. 14h de vol nous attendent. Il s'agit de nos derniers post depuis l'Amérique du Sud. A bientôt en France. Bises. Mathilde

Santiago, nouveau visage

Image
Bien le bonsoir tout le monde, C'est très déconcertant de loger dans un tout autre quartier de Santiago. A notre premier passage, nous étions dans le quartier Brasil, qui se repeuple doucement mais dont la renommée n'est pas fameuse (délinquance...). En attendant, l'hébergement n'était pas cher (et plus spartiate il est vrai). Cette fois-ci, nous avons opté pour un autre quartier, avant tout parce qu'il est plus proche à pied du centre et des endroits que nous voulions voir. Pour le coup, les hôtels sont plus chers, équivalents à la France. L'avantage, c'est d'être bien situé et d'avoir des infrastructures en bon état. Le petit plus appréciable, c'est la piscine sur la terrasse du 17ème étage, et un petit-déj bien fourni (que nous avons pris devant un documentaire sur le Proche-Orient ancien, clin d'oeil) Et le côté déroutant, c'est le quartier en lui-même. Non pas qu'il ne soit pas plaisant, bien que le modernisme de Santiago (un